Le 21 octobre 2011, un article dans Cyberpresse signé Silvia Galipeau me fait un peu réagir. Femmes avides de porno. Je me révolte parce que je réalise que les femmes hypersexuelles sont invisibles. Ça me trouble parce qu’elles ne demandent pas d’aide. Et toujours selon l’article, elles seraient très mais très rares….
Tabou, honte et jugement sont le lot des hypersexuelles. Si les hommes peuvent jouer longtemps dans le sexe extrême, les femmes ont très peu de gestes à poser pour être qualifiées de femmes faciles, putains ou sal…..
L’hypersexualité féminine est un sujet qui me fascine. Tout d’abord, voici un article que j’ai écrit en 2008 pour la revue L’intervenant de L’AITQ, l’Association des Intervenants en Toxicomanie du Québec. Soyez aux aguets, je reviendrai vous parler de l’hypersexualité féminine sous différents angles.
La nymphomane L’intervenant volume 24 janvier 2008
Amusez vous bien et n’hésitez pas à m’écrire un petit mot.
Mériza